8h20, dans le petit point presse de la zone industrielle où je travaille : plus de Charlie Hebdo…
(Le patron en reçoit une dizaine chaque semaine, et en temps normal il lui en reste toujours sur les bras.)
8h20, dans le petit point presse de la zone industrielle où je travaille : plus de Charlie Hebdo…
(Le patron en reçoit une dizaine chaque semaine, et en temps normal il lui en reste toujours sur les bras.)