10 Jours… C’est le temps qu’il nous aura fallu pour faire le tour de ce massif de la Cordillère Blanche. C’est aussi ce qu’il nous aura fallu pour retenir la prononciation du mot ! (« ouais, on part faire le tour du wawach' »)
Au programme : 9 jours de marche, entre 5 et 10 heure par jours, à une altitude située entre 4000 et 5000 mètres pour le passage des cols. Une vue sur des sommets de plus de 6000 mètres, des glaciers turbulents qui crachent régulièrement des séracs, des lacs glaciaires…
Par contre cette fois la météo n’était pas de notre côté, à cause de la pleine lune parait-il. Grêle, pluie, neige…
Les sacs à dos sont aussi un peu lourds. Après deux jours laborieux à porter 10 jours de vivres, on apprend qu’il y a un village avec un magasin au 6ème jour. Et avec ce poids là, c’est sûr, je ne vais pas aller loin. On hésite à faire demi-tour, c’est trop dur! On décide donc d’abandonner une partie de notre nourriture au bord du chemin. Les gens des communautés voisines tomberont bien dessus ! Bonne décision. Allégés, le moral remonte et nous continuons le circuit.
10 jours d’immersion dans les montagnes, ça aura été une expérience marquante pour nous. Contents tout de même de manger des crêpes au retour à Huaraz, et surtout de prendre une douche chaude !
Nous voilà donc normalement bien entrainés et surtout acclimatés à point, pour tenter maintenant quelques sommets dans la Cordillère Blanche. Boris sera donc privé de saussices et aura peut être son 1er 6000 ? La suite au prochain épisode !
Un village, au pied des montagnes, perdu à plus de 10 heure de marche de la civilisation.
Boris, à un col à 4800m. 10 heure du mat’, pause pain fromage. Et oui, les cheveux poussent !
Boris perfectionne ses recettes de cuisine. Ce soir, riz a la sauce tomate, avec ses petites cacahouètes.
Dernier jour : Après une longue journée de loose sur un sentier « alternatif », qui s’avère être complètement abandonné, On nous nous offre la nuit dans une petite pièce d’un village. Boris est épuisé !
Les sacs si lourds, c’est à cause de l’or que vous transportiez pour faire couler, au coucher du soleil, sur les parois du « je ne sais plus quoi », qui est magnifique! les photos sont sublimes, on voyage avec vous, et on n’a même pas froid quand Boris fait sa toilette, dans l’eau du lac? Continuez à nous envoyer d’aussi belles vues! Bisous
Dans l’eau du torrent, qui descend du glacier, s’il vous plaît !
J’en connais une dans l’équipe qui ne s’est pas lave les cheveux pendant 10 jours… moi je me suis peut-être gelé, mais j’ai gardé ma dignité 😉
extraordinaire.
Clique sur mon nom… si tu oses.
Voici le vélo vous permettant de gagner du temps dans la descente du Tocclaraju:
http://picasaweb.google.fr/jdenel/AttentionLesVelos?authkey=Gv1sRgCP2v_83j2ryNwwE#5359320386921198562
http://picasaweb.google.fr/jdenel/Fous_ces_romains?authkey=Gv1sRgCPOD6d3MiZ-XYA#5359314357976106818
nous avons découvert votre blog grâce à ta mère Boris et nous sommes admiratifs de votre périple et de la manière avec laquelle vous menez de front aventure, sport, culture et découverte…Allez bonne continuation!
Le vélo pour descendre du Toccla, on l’a tout pété dans les cailloux de la descente du camp avancé 🙂
@Aurelie et Christophe: merci ! 🙂
Stiff regarde sur la photo du riz a la tomate un detail qui prouve que mon achat etait 3 euros bien investis (bah oui si Bob et Marie l’ont choisi c’est forcement que c’est bien (o; )
Bientot les tresses Bob ?
monsieur STEPHAN, je crois que vous êtes en passe de vous munir de Dread Locks d’ici votre retour. Dois je vous réserver mon salon le 30 aout et embaucher des intérimaires pour en venir à bout ?
à votre service.
ce n’est pas carlos le guide qui a écrit le message précédent, c’est Jean Phillipe, le coiffeur de Boris (salon Infini’tif)